jeudi 23 août 2007

Aïe robot ?

Bon, j'ai enfin trouvé un crayon et une feuille, ça a pas été simple dans ce bâtiment, ya pas beaucoup de bureaux.
..Mais que de mines déconfites et de regards interrogateurs ! Je vous explique: Là je suis "en train de" travailler, et mon boulot consiste à... Nettoyer - oui oui c'est ça, comme Léon (clap clap) : D-.
En fait, comme j'ai déjà fini, en avance comme toujours, il me reste un quart d'heure, et plutôt que de le passer en faisant la sieste sur un escalier ou en me vautrant dans le siège d'un quelconque directeur, j'ai décidé de faire un petit billet.
A la base, je voulais donc causer du film que j'ai été voir aujourd'hui (hier au postage du billet): Transformers.
Eh oui ! Veni vedi vici ! J'entends d'ici les répliques du genre "nooooon", ou "ah ah le con", ou encore "pffffff...". Je fusille donc ces huîtres tétraplégiques et donne mon avis sur la pellicule :p .
J'ai été le voir au ciné pour en prendre plein la face, et franchement, j'ai été servi. Les graphismes sont magnifiques, les scènes d'actions excellentes (bien que complètement irréalistes parfois... Comme le reste du film en fait ^^).
Par contre, c'est sûr que c'est pas un film à scénar, et les répliques et dialogues sont parfois... involontairement drôles :D-, mais c'est sûr qu'il faut pas aller voir Transformers avec le regard critique qu'on aurait pour un film intelligent: C’est pas DU TOUT un film intelligent (mais bon, on l'aura compris hein, un film sur des gros robots transformables qui font la guerre sur terre, c'est forcément idiot). En fait, une fois qu'on a digéré l'idée de base, et si on a pas les neurones trop sensibles, on peut apprécier le propre du film, qui reste le bourrinage bordelique :D-.
En fait, j'ai été quand même agréablement surpris par le manque de sérieux donné au film, qui se ressent au travers de l'humour qui y est omniprésent: on passe vite du XD- au Oo impressionné, et le rythme reste très soutenu.
Bon je vais arrêter de m'étaler (surtout que j'ai un autre contrat qui m'attend >:p- ).
En conclusion je dirais que j'ai passé un très bon moment malgré la connerie de la chose, et que je me suis jamais emmerdé (Nan, pas une seconde) .

Ark Ark Ark

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Lol ! Je l'ai vu en DivX l'autre soir, et j'étais à un doigt et demi d'en parler sur la Marmotte ! En fait j'ai trouvé le film vraiment bon au début... Durant ce que je vais appeler la première partie : avant le débarquement du gros des troupes Otobos. Le scénar me semblait plutôt bien construit, la réalisation était intelligente, il y avait de l'idée, l'image bougeait bien et j'étais vraiment dans le film. Puis... Puis les Otobos sont arrivés. Sans s'presser-er-er-er. Bref. Pendant deux ou trois minutes j'ai grincé des dents devant la réalisation et quelques répliques, puis ces grosses choses métalliques se sont mises à PARLER... Et là, franchement, le bordel a commencé. Les Otobos sont ridicules quand ils parlent parce que :
1. leurs répliques sont à se chier dessus
2. leurs animations faciales... ben, c'est pareil.
Exemple, la présentation des différents Otobos : "
Optimus Prime : Voici ******1, expert en armes.
******1 : Quelle est la cible, mon commandant ?
Optimus Prime : Et ici, ******2, notre infirmier.
******2 : Le taux d'hormone du garçon indique qu'il veut s'accoupler avec sa femelle."
C'est bon, vous avez saisi le principe ? Dans la même veine, un peu plus tard on assiste à une scène de discussion familiale à propos de masturbation entre le "héros" et ses parents, en présence de la bonasse du film. J'aurais vu ça dans une pièce de Comedia dell'Arte, j'aurais trouvé ça passable.
Ou encore, ce flic merdique... Simmons, je crois... "C'est une criminelle. Une criminelle SEXY !" C'est un con, okay. Mais il est aussi con que le scénariste qui l'a pondu, et qui l'a mis à poil dans la rue deux minutes plus tard.
J'en passe une dernière couche sur le passage intellectuel du film : la bonasse a des antécédents de vol de voiture. Le héros se met à lui faire la gueule pour ça, il la juge, il lui demande des comptes sur son passé... On se le fait, ce scénariste oui ou merde ? S'il vous reste encore un fond de doute : un peu plus tard, le héros exige que le casier judiciaire de son vide-couilles soit effacé ("Définitivement, effacé.") s'il livre ses informations sur les ptits zoms verts. Elle a volé des bagnoles à uine certaine époque, elle l'a reconnu, et même si c'était avec son père il semble qu'elle n'ait pas été forcée. Son casier est donc tout légitime, aucune raison pour qu'il passe à la trappe. Ben non.

MICHAEL BAY, AU BUCHER, MICHAEL BAY, AU BUCHER, MICHAEL BAY, AU BUCHER !!!!

Bon ça m'a un peu remonté contre ce brave homme, de raconter toutes ces conneries, mais en vrai à part ça, le film est plutôt bon pour son aspect principal, soit des scènes d'actions hautes en couleurs (au sens propre : toutes les images du film sont saturées, ça rend plutôt bien), orchestrées comme une minute reflective JCVD. Ca claque, en gros. Mais à la limite, coupez le son pendant les dialogues :P

Hé oui, je suis encore plus un connard quand j'ai pas peur de me faire ramasser ma gueule par celui qui encaisse ;)

Alecto L. L. a dit…

la critique de Querdy me donne pas très envie de le voir mais bon, puisque c'est toi je le regarderai quand tu l'auras choppé en divx :P (mais vraiment parce que c'est toi :p-)
Ah oui par contre, je verrais bien l'Exorciste ;)-